Carte blanche à Savério Moreau – cent ans de solitude / paradis perdus

Car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n’était pas donné sur terre de seconde chance

Le soir de sa mort, Aureliano Babylonia, ultime membre de la famille Buendia, parcourt le temps sur le chemin de ses origines en déchiffrant les parchemins écrits par le mystérieux gitan Melquiades.

Sous l’arbre centenaire, dans le patio de sa maison d’enfance, les spectres des Buendia viennent rejouer les éléments marquants de leurs vies pour permettre à Aureliano d’éclaircir le mystère de la malédiction familiale qui le condamne : l’inceste.

Entre théâtre-récit, théâtre de situation et tableaux oniriques, six comédien.ne.s s’emparent d’une libre adaptation de Cent ans de solitude, le roman fleuve du colombien Gabriel Garcia Marquez, pour porter à la scène les thèmes de la mémoire trans-générationnelle, des histoires de famille et de l’enquête généalogique.

Mise en scène : Savério Moreau
Assistanat à la mise en scène : Alice Jalleau
Dramaturgie : Alice Jalleau, Savério Moreau
Texte : d’après Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez, traduction : Claude et Carmen Durand
Scénographie : Yoonseo Cho, Violette Gobart et Tahitua Oopa, élèves en scénographie de l’Ecole des Arts Décoratifs, Paris.

• Costumes : Alix Anne Blécon
• Création sonore & Régie son : Martin Delean
• Voix off : Clémentine Duvernay
• Création & Régie lumière : Lucille Vermeulen
• Projections : Léo Molina
• Régie générale : Baptiste Chapelot